Les derniers films que vous avez vu.

Pour nous hier soir Les frères Grimm.
Deux frères faux-chasseurs de monstres sont fais prisonniers par les français qui occupent l'Allemagne : leur mission, retrouver des gamins disparus, sûrement kidnappés par d'autres charlatants dans leur genre...
Je m'attendais à un truc de gothiques avec tout ce que ça comporte, mais pas du tout : assez sympa, drôle, crasseux par moments, un bon divertissement!

Commencez à me matter Taxidermia, alors que je voulais me matter Taxidermie. Un film très étrange, avec un militaire et son caporal chef. Le mec dois obéir à son supérieur, qui lui fait notamment couper du bois pour chauffer l'eau du bois. Sinon, le mec joue avec sa bite. La nuit avec son briquet, le jour en mattant des jeunes filles jouant dans la neiges, il se branle aussi dans un trou entre deux planches, mais un coq vient lui becter le gland.
J'ai regard quoi, 20 minutes peut-être, j'ai abandonner, parce que c'était franchement chiant...

Dans le coup, me suis fait Hard Candy, un thriller pour pédophile, puisqu'à part pour ceux-là, je ne vois pas vraiment en quoi le film est flippant. Rien de vraiment palpitant dans ce film, on s'ennuie pas mal je trouve, et puis l'histoire est assez prévisible.

ces derniers jours:

Pirates des caraïbes 3: sympa mais trop long. beaucoup trop long. pas mal de plans mal expliqués, mal enchainés, des scènes excellentes mais d'autres inutiles. mouais...

Les oubliées de Juarez: si on m'avait dit un jour que j'aimerai un film avec Jennifer Lopez... vraiment très bon celui là. le film est basé sur des faits réels (le meurtre et la disparition de centaines de femmes au Mexique depuis 1993). J.Lo s'en sort pas mal, en jouant de façon assez sobre. malgré qq concessions hollywoodiennes, l'ensemble tient la route. les acteurs jouant les seconds roles sont excellents.

Honkytonk Man: un film à part et plutôt méconnu dans la carrière de Clint Eastwood. un portrait humain et touchant d'un marginal alcoolique et tuberculeux, guitariste et chanteur de country itinérant qui cherche la gloire avant de mourir, et veut transmettre le flambeau à son neveu (joué par Kyle Eastwood, le fils du grand Clint, qui est depuis devenu dans la vraie vie un talentueux musicien de jazz -authentique-). deux heures road movie de bouges en bordels, de prisons en déserts, sur la musique et la voix de Clint qui joue et chante pour de vrai et nous montre un talent bluffant. heureusement que la VF respecte ses passages chantés en revenant à la VO et au timbre poitrinaire de Clint, qui est un chanteur tout à fait convainquant en plus d'être un grand acteur.
un -très- grand film.

Un week end avec un pote, pleins de films :

Scary Movie 1, 2 et 4 (et ouais on avait pas le 3 -_-)
En règle général c'est très marrant. Le 4 est largement le moins bon, beaucoup trop copie (c'est fait exprès je sais). Le 2 est ptet celui que j'ai préféré.

Constantine
Plutôt sympa. L'histoire est un peu lourde à la fin, mais le concept est pas trop mal.

Cigarette Burns - La fin absolue du monde de John Carpenter (série "Master of Horror").
Issu de la première série de "Master of Horror" (série américaine de 13 "épisodes", fait chacun par un des plus grands réalisateurs de film d'horreur du monde), Cigarette Burns - La fin absolue du monde est l'histoire de Kirby, un gars qui a acheté une salle de cinéma et qui est réputé pour trouver de vieilles bobinnes très rares. Un collectionneur richissime lui demande de trouver le film La fin absolue du Monde. Problème : il n'a été projeté qu'un seule fois dans un festival il y a de nombreuses années et il est censé avoir été détruit. LFADM est réputé pour son influence sur ses spectateurs : lors de sa projection ils se sont tous frappés, il y a eu de nombreux morts. Kirby part donc à la recherche de ce "film maudit"... La fin n'est pas très surprenante mais a toujours son petit effet.
Bref, j'ai donc trouvé ce film très très sympa et le recommande vivement (c'est plein de sang <- note à Seth, Hräs et à beaucoup d'autre dailleurs^^).

Constantine est pas mal, l'ambiance est assez glauque

Mean Creek : histoire classique, mais très sympa tout de même.
Sam n'arrête pas de se faire frapper par un mec de son école, George (le gamin américain gros, friqué et bourrin de base). Son grand frère et ses potes décident de le venger. Ils invitent alors George pour lui tendre un piège. La tension monte et tout dérape...

The Machinist : Trevor souffre d'insomnie, il n'a pas dormi depuis un an (un peu abusé mais bon). Il se monte des films et fini par ne plus arriver à distinguer la réalité de ses rêves.
Très sympa aussi, j'ai vraiment bien aimé.

Ils, un film d'horreur/suspence ma foi plutôt sympathique, dont l'action se situe dans une maison paumée en pleine forêt, en Roumanie (bon... à quelques lieues de Bucarest). Un couple de français expatriés se retrouve prisonnier dans leur propre maison, un soir d'orage battant, où l'électricité se retrouve coupée... Ils ne sont plus seuls, et dans le genre "entités invisibles jusqu'à la fin", ça reste réussi malgré quelques effets vus et revus (course poursuite à travers des baches plastiques, télé allumée sans raison apparente)... Néanmoins, il y a du rythme et du suspence, le contrat est rempli.

Severence, là, par contre, une nette déception, moi qui m'attendait à une comédie noire bien malsaine et déjantée, me voilà devant une pléiade de gags soit franchement pas droles ou vraiment attendus, le tout en comptant un nombre non négligeable de temps morts...

28 semaines plus tard : en bref, KILLER !

Après l'invasion de la Grande Bretagne par les contaminés, l'armée américaine, mandatée par l'OTAN intervient en grandes pompes et finit par massacrer joyeusement tous les morts-vivants sur leur passage... Et c'est là que débute le récit, les survivants anglais, sous la protection américaine, reprennent concession dans un Londres désolé et la vie reprend son droit... Evidemment, ce n'est pas aussi simple et une nouvelle invasion débute (les raisons de celle-ci sont bien trouvées pour une fois, enfin... logique ou pas, ça change et c'est ce qui importe)... En résumé, un blockbuster très bien foutu, qui allie une bonne grosse action de série B, des effets spéciaux encore jamais vus dans un film de zombies, un scénario certes parfois tiré par les cheveux mais prenant, et une bande originale de génie... FAUT L'VOIR !



Ghost In The Shell et Ghost In The Shell 2 : Innocence : Même constat qu'au dessus, c'est très grand, mais évidemment pas le même registre...

Un manga nippon (pléonasme) dont la trame et l'intelligence n'ont strictement rien à envier à un Phillip Dick ou Gibson... c'est du cyber punk frais, intelligent, même si parfois dur à suivre (et je pense surtout au second opus) et des graphismes/dessins à couper le squeele... A vrai dire, je ne vais pas en parler trop, car après deux visionnages, je suis encore bien largué à certains passages... verdict : Matrix avec un cerveau.



Et j'ai aussi un plan pour zieuter Ozone et Abomination, deux films de Matt Devien, qui semblent être du gros Z du niveau d'un Bruno Mattei, mais en BIEN PIRE ! Les ritals au moins, avaient le génie pour allier à leurs films bourrins ou d'épouvante un côté populaire, mais là, c'est ricain et de la terre profonde... J'ai entendu parler de ces deux bijous potentiels comme étant la crème du film gore expérimentalo-gogol... En gros : des acteurs foireux, des effets spéciaux foireux, une excuse (je parle même pas d'histoire) innexistante, une lumière, un montage et une façon de filmer dignes d'un film expérimental français post-situationniste sous coke, et des plans incompréhensibles (entendu parler d'un moment où le mec s'amuse à filmer la nana se contempler devant son miroir durant 15 minutes, sans raison), et puis les critiques que j'ai lu à son égard...

Ce film passe bien après une bouteille de Martini rouge...
0/6 - Lionel COLNARD

Ce film est un bijou! N'est égalé que par le nullissime Zombie Lake de Jean Rollin! Tout y est à se tordre, du vomis fluo à l'attaque de la chaussette tueuse près du lac... En passant par les punch line de la mort: "Quand maman elle a dit on mange, on mange"... on encore "Pédé, Va!". La gallerie de redneck à elle seule mérite un oscar. Je veux voir The Abomination en espérant que ce soit de la même veine!

Ne vous laissez pas abuser comme moi par la jaquette VHS de chez Cobra ou FIP et ses images sympathiquement crades. Ce film est l'un des plus mauvais que j'ai vu, c'est d'une nullité absolument hallucinante. C'est simple, il ne se passe absolument rien d'intéressant! Y a aucun scénario, c'est juste un montage de scènes aussi gonflante qu'inutiles, genre une femme qui fait la vaisselle ou des gens qui s'amusent à tirer au fusil sur des fruits! Et c'est comme ça tout le film! Super excitant, non? En plus le film est moche, mal foutu, et vulgaire (bonjour le niveau des répliques). Quant aux scènes gores, encore une belle arnaque : elles sont peu nombreuses et à part le final avec son étalage de tripes, elles ne sont pas très spectaculaires, souvent on voit rien, c'est sombre et filmé sous de mauvais angles. Pour les musiques c'est un comble, y avait 4 mecs dessus alors qu'on entend presque pas de musiques de tout le film, y a même pas de musique au générique de fin! Un film affligeant, super chiant et débile, et en plus c'est même pas drôle.

ce film est un chef-d'oeuvre. mes scènes préférées sont les plus inutiles : la jeune fille qui se prépare devant la glace en chantant n'importe quoi, la grand-mère qui court après le coq dans la cuisine (scène traumatisante, on croirait une sorcière et puis ça dure vraiment 10 minutes !?!)et le passage où elle donne à manger à son poisson rouge (2 minutes).
ormis les scènes du coyote avec le jeune homme qui se prend le pied dans un terrier, et le tir de pastèques au fusil à pompe à "pouleville", la scène ultime, avec un aspect visuel quasi documentaire, reste le concert dans le bar où on voit défiler au micro les habitants de Pouleville, bien plus improbables que les zombies qui suivent.
J'ai vu récemment "the abomination" et je pense que les réalisateurs-producteurs sont bons pour une psychothérapie, enfin tant qu'ils continuent à faire des films aux scènes inutiles, je comparerai leurs opus aux meilleurs propositions d'art contemporain.

Faut impérativement que je vois ça !

Me revoici, et le topo est que j'ai pas acheté un seul disque depuis plus de deux mois, l'essentiel de ma bourse allant dans l'achat d'objets cinématographiques.

Alors, alors...

Abomination et Ozone de Matt Devlen : des films Z fauchés comme les blés, les deux films combinés ayant surement été tournés avec le tiers du budget de Virus Cannibale... je plaisante, mais je dois pas être très loin. Et comment tenir ? En meublant, en meublant, en meublant je vous dis ! Si Abomination traite d'une créature démoniaque et Ozone de zombies contaminés par des pesticides, les deux films se rapprochent par leur lot particulièrement fleuri de scènes inutiles... dix minutes passées sur une nana qui s'admire devant une glace en chantant absolument n'importe quoi ou encore le même temps consacré à filmer un authentique redneck massacrer ses pastèques au fusil. Notons également une photographie absolument immonde, baveuse et répugnante, sans parler d'une lumière innexistante... Evidemment, les acteurs sont sortis de Dieu ne sait où, absolument monolithiques, terme qui convient également au rythme.
En bref, on peut qualifier ces oeuvres très étranges d'Inspecteur Derrick gore experimental. Crade, nullissime, chiantissime mais hypnotique, il m'a fallu trois tentatives pour me gober tout ça d'une traite. Cri de génie ou merde abyssale ? je n'ai plus assez de neuronnes pour me prononcer...

Female Prisonner 701 : Sasori : un wip (women in prison) de grande facture, signé par la Toei : un rape & revenge magistral dans lequel j'ai cru voir celle qui est pour moi la plus belle femme du monde : Meiko Kaji. Tourné en 1972, en dépit d'une appellation de pinku eiga facilement collée, ce film recèle de grandes qualités : scénario construit, plans monstrueux, photographie très seventies, et bonne bande son... 1/3 pinku eiga, 1/3 wip, 1/3 rape&revenge, 100% culte, que demande le peuple ?

Zatoichi : Le Shogun de l'Ombre avec un Shintaro Katsu dont le talent pour interprêter le masseur aveugle l'emporte de loin sur celui de Takeshi Kitano, c'est un rôle tout à fait à sa mesure. Zatoîchi combat un puissant clan de yakuzas, toujours armé de sa légendaire canne-épée, avec la différence notable ici qu'il connait l'amour dans les bras de la fille du chef du-dit clan de yakuzas. En bref : un excellent scénario écrit par l'acteur lui-même, une très belle photographie et surtout un métrage peu avare en combats épiques.

L'été du Démon de Yoshitaro Nomura, avec l'excellent Ken Ogata et la troublante Shima Iwashita. Tout le quotidien d'un honnête imprimeur japonais s'écroule le jour où sa maitresse déboule chez lui, filant à l'anglais, tout en lui laissant à charge ses trois enfants illégitimes, et tout cela devant les yeux exhorbités de sa (vraie) femme. Dit comme ça, on pourrait croire à une comédie anglaise, mais ce chef d'oeuvre nippon prend des allures de drame cruel très très rapidement. Devant les ennuis financiers mais surtout à cause de sa femme extrêmement dominatrice, notre bonhomme se voit contraint de se débarasser de sa propre progéniture, et ce par tous les moyens. Un conte cruel de 1977, avec un casting époustouflant, Ken Ogata en homme faible et dominé, sa souffrance transpirant à travers l'écran, surtout lors de la scène finale, proprement phénoménale. Mais aussi Shima Iwashita, en dominatrice très inquiétante, qui force le respect là où on serait forcé de répondre à une autre dans la même situation "ta gueule, eh ! salope !"
Chef d'oeuvre, point.

Guerre des Gangs à Okinawa par Kinji Fukasaku (ouais, le même qui a pondu cette fiente qu'est Battle Royale 2). 1971, Tokyo, un clan de yakuza éclaté se reforme après la libération de son chef. Devant la main-mise sur les docks d'un clan bien plus puissant, la bande fait les valises pour Okinawa où les affaires marchent, entre alcool, prostitution et militaires us en perm'. Jamais été très fan du réalisateur, mais le dvd vaut l'achat uniquement pour le jeu tout en puissante de Koji Tsuruta, qui s'impose en chef courageux, respecteux des traditions yakuzas. Le scénario reste très bon, la mise en scène est aux petits oignons, mais bizarrement, il manque un petit quelque chose pour que ce soit vraiment excellent.

Audition de Takashi Miike ; Un producteur veuf, aidé par un ami, recherche sa nouvelle dulcinée via une audition pour un film. Il la trouve en une ancienne ballerine, d'une beauté incroyable, mais la jeune femme, déjà étrange, reste trouble sur son passé, et cela va poser de sérieux problèmes à notre protagoniste ; En gros, c'est du Takashi Miike, scénario toujours intéressant, mise en scène bizarroîde et barrée même si ce métrage reste dans le conventionnel durant un temps. Un très bon moment, on regrettera seulement un rythme qui met un peu de temps à se mettre en place et un final trop abrupte à mon goût.

Le Maître de Guerre de et avec le grand Clint ; 9,90€ envolés uniquement pour les répliques d'anthologie.
"Et il y avait cette niakoué qui faisait la brouette mongole comme personne" ---
" - oh la mechante paire de nibards , hostiles les projectiles , t'y foure ton chibre et ça t'mutile!!!" ---
" - Les soldats je les gerbe, moi.
- Repete.
- Si tu frime pour bourrer le mou de ce glandu, pas la peine de te faire mousser comme ça boule à zero.
- T’as l’air de savoir de quoi tu parles
- Ou tu vas, la ? Père Lacolique ?
- Le pere la colique te previent qu’il est un père la colique fatigué qui a des renvois de barbelé, qui pisse du napalm et qui te vide un chargeur dans le cul d’une mouche à 200 metres, alors arrete de me peler le jonc, sinon, il va y avoir explication des gravures."


The Isle de Kim Ki-Duk ; Un criminel en fuite s'établit dans un complexe étrange de maisons flottantes sur lac. Une relation se noue entre le protagoniste et la maître des lieux, femme aussi belle qu'étrange, en plus d'être dominatrice et violente. Un bien beau film tiens, entre photographie contemplative et cruauté perverse.

2LDK de Yukihiko Tsutsumi ; En une soirée, le rapport entre deux colloc' (accessoirement toutes deux actrices) vire à la guerre suite à une prise de choux typiquement féminine sur l'accession à un hypothétique rôle. Evidemment, ça se termine dans un bain de sang général. Alors c'est bien filmé, bien rythmé, mais l'ennui guette un peu vers la fin, en tout cas, ça reste fort plaisant, ne serait-ce que pour la présence d'Eiko Koike, aka "grosse paire de nichons"

Hana-Bi de et avec Takeshi Kitano ; Très grand film, que je rapprocherais de The Isle, cela uniquement pour le contraste entre esthétique contemplative et violence. Tout comme Violent Cop, on assite à la longue descente aux enfers d'un flic, détruit par la maladie sans issue de sa femme, son meilleur ami dépressif et paraplégique (lui aussi flic ayant mal fini), sans parler de dettes accumulées auprès de la mafia. Takeshi Kitano réitère l'exploit d'occuper tout le métrage sans dialogue ou presque, tout en absences d'expressions, lui conférent sans peine l'image de force de la nature implacable... mais au coeur meurtri.
Sans risque, chef d'oeuvre.

Fantasmes de Jan Sun Woo Lee ; Une jeune lycéenne rencontre un artiste trentenaire et une relation sadomasochiste violente naît entre eux. Je crois qu'on peut résumer l'affaire à ça. Personnellement, je m'en faisais une grande idée avant de le visionner, peut-être dû aux souvenirs de l'Empire des Sens. Constat ; Même si la qualité de l'oeuvre est le jeu sincère des acteurs et aussi un petit côté docu plaisant, le reste déçoit : c'est lent sans être hypnotique ou même prenant, et bien que construits et travaillés, je n'ai pas réussi à plonger dans l'esprit des protagonistes. Dommage, ou alors à revoir prochainement pour voir si la sauce prend.

Ichi The Killer de Takashi Miike ; KILLER ! Attila et Dylfosat en ont déjà parlé avant, je n'ai pas besoin d'en rajouter, en quelque sorte une espèce de Pulp Fiction sm nippon sous coke.

Sympathy For Lady Vengeance de Park Chan Wook ; suite thématique d'Old Boy, avec le même génie et la même beauté esthétique. Si l'on se trouve cette fois-ci emputés de rebondissements innatendus, on a en revanche le droit à un jeu d'acteurs magistral. Tous les acteurs de la dernière partie (les familles des victimes, le tueur et notre lady vengeance) sont bluffants.

Memories Of Murder de Bong Joon-Ho ; Thriller coréen très sympathique, basé sur une histoire vraie, le premier tueur en série repertorié dans le pays. Rythme haletant, bonne mise en scène, bons acteurs... vraiment un bon représentant de la nouvelle vague de films coréens... tout en qualité.

The Big Lebowski de Joel et Ethan Coen ; 1h50 passée à hurler de rire devant ce petit bijou de la comédie US. Débile mais réfléchi, jubilatoire, à contre-courant !
" - Je te suce la bite si tu veux
- Ca gêne pas ton mari ?
- Lui ? Il est nihiliste, il se fout de tout !
- Pfiou ! Ca doit être fatiguant comme activité !"


Pride 2.3 : BASTOOOOOOON :evil10: !!!! 2h30 de Pride servi en grandes pompes par les meilleurs : Fedor Emelianenko, Mark Coleman, Shogun, Butterbean (manque plus que CroCop tiens).
Pour vous donner une idée, la dernière baston du dvd, entre Fedor Emelianenko (aka "The Tsar", véritable machine à tuer, invaincu) et Mark Coleman : https://www.youtube.com/watch?v=zq0w_1hFz2o
Autrement plus impressionant que le catch tiens


Sinon, prochains visionnages : Flic Ou Ninja, toute la série des Hellraiser le coffret n°1 des classiques de la Hammer, un coffret Jess Franco, la trilogie Dead Or Alive de Miike, de l'Akira Kurosawa Le Lac Des Morts Vivants, du bis, du giallo, en pagaille, tout en esperant que mon mega colis d'Amazon ne se perde pas en route... des oeuvres en domaine public commeThe Asphyx, Citizen Kane, Rashomon... Période boulimie filmique en ce moment

+50000 pour Le Maître de Guerre et le Big Lebowski!!

Le reste... connais pas :)

Le reste, si tu t'attardes sur les commentaires 100% positifs, ça te permettra à la fois de cerner les catégories "nouvelle vague", "yakuza", "thriller", "de genre", "pinku eiga"... Que des bons représentations du cinéma asiatique et plus principalement japonais.
Si l'envie te prends de te pencher sur le sujet, quelques réalisateurs très différents mais indispensables, avec entre parenthèses ce que je conseille :
- Takeshi Kitano (Hana-bi)
- Takashi Miike (Ichi The Killer)
- Akira Kurosowa (Les Idiots ou Rashomon)
- Kinji Fukasaku (Guerre des gangs à Okinawa)
sans parler du cinéma de genre, plus populaire avec la série des Godzilla, ou encore, fraîchement sorti en France, la saga des "Femme Scorpion / Sasori" avec la sublime Meiko Kaji, qui joua aussi dans "Lady Snowblood" et là, on voit où Tarantino a piqué la grosse partie de ses idées pour Kill Bill.

Bon, aujourd'hui, j'ai prévu de me détendre un peu le bulbe avec :
- Flic Ou Ninja de Godfrey Ho, dont la chronique sur nanarland.com décrit bien le potentiel "crame-neuronnes" ici
- Until Death, l'un des derniers JC Van Damme, aussi bourrin que jamais, et paraît-il plutôt pas mal pour un direct-to-video.
- Hellraiser 5, je ne pense pas qu'il soit aussi bon que le 4
- The Asphyx, un Hammer-like de grande facture semble t-il.

INTO THE WILD au ciné

IL faut le voir!

Ca parle de quoi, quel genre, tes impressions ?

Bon, je continue le topic seul alors...

Until Death de Simon Fellows ; Notre impayable JCVD revient en flic brutal, nihiliste et héroïnomane dans un direct-to-video ma foi sympathique, sans pour autant nous balancer ce que l'on veut avec ce genre de produits : de la tatane et du flingue à gogo. Néanmoins, si c'est moins bourrin, et que notre monsieurs muscles from Bruxelles se montre moins physique, il y a un petit côté "sin city" pas déplaisant : flic ripoux, drogue, exécutions sommaires entre gangs, putes et le côté bien vicié de la Nouvelle Orléans... Une ambiance plutôt bien transmise, de l'action et un JCVD qui campe bien son rôle. Ni un excellent film, ni un navet ou un nanar, un bon Jean-Claude Van Damme, un bon direct-to-video quoi.




Flic Ou Ninja de Godfrey Ho ; Allons à l'essentiel :
- Un scénario abracadabrantesque et incompréhensible (dû au mélange de deux films différents, de date/provenance différentes, le tout monté à la tronçonneuse, relié par une histoire absolument grotesque)
- Des acteurs incompétents, au charisme de serpillière et à la beauté d'oiseau mort.
- des agents d'interpole qui se téléportent !
- des ninjas aux combinaisons fluos (rouge, blanc) qui se déplacent en saltos arrières inutiles, ne sachant pas se recevoir correctement.
- Tout en zooms avant et arrière (Jess Franco, sors de ce film !)
- Une bande son pillée sur les compilations de musique d'ascenceurs.
- Deux acteurs d'une même scène qui se parlent, mais qui ne jouent pas dans le même film (champ/contre-champ et doublages foireux pour tenter de maintenir un semblant de crédibilité)
- des répliques tellement miteuses qu'elles sont cultes.
- une photographie tellement pourrave qu'au moindre mouvement de caméra, les visages filmés à trois mètres sont floutés
- une vf qui en rajoute des tonnes (Robert, Maurice, Georges, Rose... des doubleurs amorphes à côté de la plaque)

Mais surtout, une scène occultée par les chroniqueurs en général, et pourtant, il s'agit quasiment d'Art surréaliste ; L'un des meilleurs festivals de tronches de cake de l'histoire du Cinéma, aux costards 80's impayables, qui se parlent en langage des signes pour on ne saura jamais quelle raison, le tout sur le titre "Trans-Europe Express" pillé chez Kraftwerk.

J'ai adoré ce film.

Stryg a écrit:Ca parle de quoi, quel genre, tes impressions ?

Un type brillant, prêt pour Harvard, qui lâche tout, coupe tous les liens, en s'en va vivre et voyager, into the wild. Superbe. A BOIRE heu A VOIR.

Dead Or Alive de Takashi Miike ; Le premier opus de la trilogie culte nous offre un très bon Miike, pourtant relativement éloigné du délire névrosé de Ichi The Killer ; Un flic dont la fille est gravement malade, un truand aux relations conflictuelles avec son frangin fraîchement diplomé, des yakuzas, des triades, un indic' producteur de films zoophiles, de la scatophilie, des fous, des tarés, le tout dans un film au montage a priori anarchique mais qui séduit et trouve une cohérence. A noter l'excellente séquence d'introduction qui vaut à elle seule l'achat du film.

Dracula, Prince des Ténèbres : de Terence Fisher ; Il m'a fallu du temps, mais voilà que je me mets à grandement apprécier les oeuvres de la Hammer : l'esthétique gothique et chatoyante, les ambiances hypnotiques, les jeux d'acteur typiquement british... Au XIXème siècle, une bande de "touristes" londoniens visitent la Transylvanie, se retrouvent isolés en pleine forêt mais heureusement, un grand maigre tout bizarre les accueille dans le chateau de son maître, mort il y a 10 ans, et qui n'est autre que Dracula, campé par le très impressionant Christopher Lee. L'un des anglais va servir à le ressuciter et le vampire va recommencer à perpétrer ses crimes. En gros, un excellent film, très prenant, et qui d'après moi a très bien vieilli.


Exorcisme et messes noires de Jess Franco ; Un prêtre défroqué (joué par Jess Franco, tout en regards hallucinés de chez halluciné) gagne sa croute en écrivant des nouvelles sado-érotiques pour le compte d'un hebdomadaire (un bureau, deux chaises et un calendrier des télécoms, et hop ! on a un grand magazine !). Le rédacteur et sa charmante secrétaire passent d'ailleurs leur temps en organisant des "messes noires", sortes de spectacles où sont simulées tortures et mises à mort. Quand le prêtre apprend tout ce beau bordel, il décide d'en découdre et s'improvise Torquemada, en tuant (lui appelle ça un exorcisme) un à un les participants, dans un déluge de gore tiers-mondiste et d'effets spéciaux moisis. Par contre, j'ai un gros problème, j'ai du mal à situer cette oeuvre, entre le bon bis et un navet, sans toutefois réussir à parler de nanar. Parfois c'est prenant, parfois c'est (très) chiant, mais ça reste hypnotique et unique sur tout le long, donc j'opterais pour le bon bis, à titre personnel.


Ran d'Akira Kurosowa ; Drame épique japonais réalisé par le maître, l'une de ses dernières oeuvres. Au XVIème siècle, un vieux chef de clan décide de se retirer et lègue son dojon principal à l'ainé, et le reste aux deux frères restants. Ce que le vieil homme a négligé, c'est des temps troubles, des complots, et des rivalités qui nous offrent un long métrage de 2h35 absolument magistral, tout en finesse et en énergie, le tout accouplé à une poésie typiquement japonaise. Chef d'oeuvre.


Salo ou les 120 journées de Sodome de Pier Paolo Pasolini ; Je vais certainement me mettre à dos certaines personnes mais j'ai trouvé ce film d'un chiant, mais alors d'un chiant. Le pitch, grosso modo, se résume à une bande de fascistes italiens, durant la guerre, qui s'enferme dans un grand manoir, avec à leur disposition de jeunes esclaves kidnappés dans le coin. Durant une heure et demi, c'est fessées, mange-caca, humiliations, répliques bateaux, rythme mou et scénario nébuleux. Perso, j'ai rapidement survolé les scènes au bout d'une quarantaine de minutes pour me rendre compte que finalement, le film était assez surrestimé.

Swenney Todd
J'ai du me le farcir hier soir (ce qu'on ferait pas pour ces demoiselles hein).

Donc Burton, ça va, j'aime bien, je suis loin de m'y connaître en cinoch et ça me convient. Mais là franchement... Certes, je n'aime pas les comédies musicales et là, ça fait que chanter. Il y a des passages carrément inutile, genre au début où la fille parle de ses beignets immangeables. Le pire moment, le matelot qui chante "Johaaa-nah ! Johaaa-nah !" rah putain, z'ont réussi à le caser 3 ou 4 fois dans le film bordel ! ça puait sévère du fion. Les chansons en général sont bof, très bof, avec des mélodies qui reviennent, c'est pas assez varié, et ça lourde. Néanmoins à force on s'y fait, on supporte, c'est le début qu'est passablement difficile à passer.
Sinon, on a le droit à du Burton, donc les décors sont pas trop mal foutu, à part au début, le passage style "visite guidée" (en speed) du Londres de l'époque, on voit trop que c'est fait par informatique, et c'est moche, ça se repère surtout aux quelques individus sur lequel s'arrête la caméra. Le jeu des couleurs, évidemment sombre, est peut-être un tantinet trop accentué, pas autant cependant que dans le remake de "666 la Malédiction" mais dans le même genre. L'histoire est légèrement prévisible, du certainement au côté comédie musical. Le juge ne paraît franchement pas si terrible que ça, peut-être du à une volonté de le faire passer pour torturer, genre méchant parce qu'il souffre, mais c'est loin d'être réussi...

+1 pour le barbier italien, über kitch, tranche de rigolade assuré, donc c'est déjà ça de pris. Et puis un moment super chelou aussi : le matelot est dans la rue assis sur un banc, juste en face de la fenêtre de "Johaaa-nah !". Il l'entend alors chanter, il est extasié, s'avance dans la rue, puis quand la chanson est terminé, il marche 10 mètres vers la droite et se retrouve... à côté du banc où il était au début. Balèze quoi.

En conclusion, c'est indéniablement du Burton. Mais la réalisation en comédie musicale n'est pas terrible, j'aurais personellement préféré un film "normal" avec une intrigue et des personnages mieux développés, ce que ne permet pas de faire à mon avis la comédie musicale. Les chansons sont lourdes, ce qui ne permet pas de se plonger dans les émotions de l'histoire, et personnellement j'ai trouvé la fin passablement mal joué par Depp, lorsqu'il tue sa femme, mais en même temps j'en avais peut-être suffisament ras le fion des chanson.

Franchement bof, heureusement que j'ai pas payé ma place, mais quand je pense que jaurais pu aller voir autre chose...

Une Vierge chez les morts vivants de Jess Franco ; alors comme l'indique le titre, il y a bien une jolie vierge, mais pas de morts-vivants. Le pitch c'est que suite à la mort de son père,'une nana déboule dans un chateau habité par des membres de sa famille qu'elle n'a pas encore rencontré, et il se trouve qu'il est maudit. Voilà.
Alors je sais pas si c'était la grande fatigue ou autre chose, mais j'ai trouvé ce film super brumeux, limite abstrait. On voit défiler une succession de scènes inutiles au possible avec tout de même quelques "points culminants" qui essaient de se la jouer Dario Argento, et qui finissent par être aussi palpitants que Derrick sur ses chiottes. Autre chose, est-ce normal si je me suis senti largué à la fin du montage ? Car j'avoue ne pas avoir tout saisi, voire pas grand chose. En dernier point, j'aimerais dire que j'ai bien aimé les scènes avec les dames à poil, le côté très seventies et bien naturel m'a aidé à terminer le film
Ah, parlons aussi des zooms ! Je crois que j'ai du perdre 3/10èmes à chaque oeil à cause de ça, c'est bien simple ; A presque chaque plan, on compte en moyenne deux zooms, plutôt épileptiques, au cadrage très aléatoires, ça part vraiment dans tous les sens, j'avais mal à la tête au bout de 20 minutes
Au bout du compte, je peine à dire si c'était une grosse nazerie, un nanar ou quoi que ce soit d'autre, mais c'est hypnotique et décomplexé, enfin, c'est du Jess Franco quoi

Les Vierges De Satan de Terence Fisher. Voir ma chronique sur le site BD, en tout cas, un très grand film.


Raspoutine, Le Moine Fou de Don Sharp ; Egalement un très bon film de la Hammer, néanmoins différent des autres que j'ai pu voir jusqu'à présent. Moins branché fantastique/horreur, l'intrigue se situe dans la Russie tsariste du début de siècle retraçant la vie de Grigori Raspoutine, campé par l'excellent Christopher Lee qui donne toute sa dimension au personnage. Ca sent la folie, l'oppression, l'occultisme même... On pourrait reprocher au film de ne pas être trop fidèle à l'histoire originale, mais l'esthétique Hammer rattrape tout, sans compter le jeu d'acteur et quelques scènes anthologiques.

Le Sadique Baron Von Klaus de Jess Franco ; Première oeuvre d'épouvante du maître tournée en 1962 et, avouons-le, une belle réussite : Une série de meurtres a lieu dans une petite ville. Le doute plane sur un conte, Von Klaus, dont un des ancêtres, il y a 500 ans, fut l'auteur d'une série de meurtres sanglants. Un commissaire enquête donc, aidé d'un journaliste au nez fin, qui pense à autre chose...
Très très loin d'un "Abime des Morts Vivants" ou encore d'un "Messes Noires et exorcismes", ce "Sadique Baron Von Klaus" fait très classique en comparaison de la filmographie habituelle du maitre. Néanmoins, une bonne intrigue, une ambiance malsaine, une bande originale jazzy et de belles images en noir et blanc en font un très bon film.


Godzilla Contre Mothra (1992) ; La chute d'un météore ramène à la vie un monstre du nom de Battra. Par la même occasion, Godzilla, en sommeil, se trouvait par là, et en fut réveillé. En même temps, un oeuf géant éclot sur une île des Philippines, il s'agit de Mothra, dieu protecteur d'une antique civilisation de liliputiens dont il ne reste que deux survivantes, infâmes mini-étrons moches qui n'hésitent pas à pousser la chansonette pour "invoquer" le dieu en question. A cela s'ajoutent des acteurs caricaturaux (indiana jones du pauvre, la japoniaise en roue libre, le patron capitaliste qui se fout de l'environnement, enfant comme clause de l'innoncence à préserver (les japonais en sont fous) etc.), des scènes de batailles entre monstres vraiment bonnes, Tokyo à moitié détruite et une bonne dose d'écologie simpliste. Tout ces ingrédients en font un très bon film japonais de monstres, avec un bon rythme, de l'action, de l'inventivité et un Godzilla bien furax... Vraiment un bon divertissement, j'ai beaucoup aimé.

Godzilla Contre Megalon (1973) ; Plus ancien celui-là, et nettement moins fun que le précédent je trouve mais il a encore tout son charme : Un scientifique met au point (on ne saura jamais trop pourquoi) un robot absolument ridicule. Une antique cité enfouie au fond des mers (dix figurants, des robes de chambres, deux colonnes en polyester et trois danseuses qui se trémoussent au milieu et zou ! on a l'atlantide !) envoit ses hommes afin de le détourner pour s'en servir comme appât pour Megalon afin qu'il détruise Tokyo. Entre temps, Godzilla se ramène pour calmer tout ce beau monde. Sympa mais sans plus, un rythme moins nerveux, moins de destructions urbaines, moins bourrin quoi mais il se laisse tout de même sympathiquement regarder...


Le Retour des Morts-Vivants 3 de Brian Yuzna ; Ca faisait longtemps que je l'avais pas vu tiens. Un officier supérieur de l'Armée travaille en secret sur un produit qui rend la vie aux morts, en leur donnant des propriétés caractéristiques : quasi-invulnérables, cannibales et débiles. En revanche, son fils est un branleur fini, quoiqu'il ait de très bons goûts en matière de nanas, il sort avec une bonnasse rousse à gros nichons. Mais cette dernière meurt lorsque les deux tourtereaux roulaient à moto. Ayant eu vent des travaux de son père en l'ayant espionné, il s'infiltre dans la base militaire et ramène à la vie sa bien-aimée, qui aura toujours la dalle en voyant de beaux humains à la chair bien fraîche... Dès lors, ils s'échappent et le carnage peut commencer.
Des zombies dégulus, de gore crado, une ambiance bien lourde et malsaine, des automutilations inventives... Très bonne série B, et par ailleurs excellent film de zombies.

Bon c'est pas le dernier que j'ai vu (pour cause), mais voici la bande-annonce du futur Indiana Jones (ouais, un peu de mainstream ça fait du bien des fois!):

http://movies.yahoo.com/feature/indianajones.html?showVideo=1

Le Coffret de la Saison N°1 d'X-Files : Chris Carter is god. La première saison de la série avait déjà posé toutes les bases qui ont fondé son succès : des aliens, un complot gouvernemental, des faits inexpliqués, des monstres, de l'eugénisme, des pouvoirs surnaturels, le tout étayé de manière logique et rationnelle. Le dvd bonus est pas mal du tout pour un coffret à 40€ (24 épisodes de 50 minutes) : making off, reportages, bandes annonces.
Dès que j'ai un peu d'oseille, je me prends la saison 2

Et bientôt, grâce à la gentillesse de ma maternelle : le coffret de l'intégrâle de Millenium, également créée par Chris Carter, avec Lance Enricksen, sorte de X-Files en bien plus inhumain, froid, apocalyptique et mystique.

J'ai vu l'archétype même de tout ce que je déteste en matière de "cinéma" : American Pie 6. Si vous voulez vomir un bon coup, visionnez-le, vous ne serez pas déçu du voyage, ce film combine tout ce qu'il y a de plus exécrable dans le genre "humour décalé made in USA".

Le dernier que j'ai vu dans le genre, ça devait être le 2 et j'avais déjà trouvé ça bien gogol.
Si ça va encore plus loin dans le domaine scatologique et sentimentalisme juvénile je-ne-pense-qu'avec-popol, je me laisserais bien tenter, merci du conseil !

J'ai pas vu les précédents, mais dans celui-ci y a des boobs en veux-tu en voilà. N'empêche, une telle caricature, ça laisse pantois.